vendredi 10 octobre 2014

Tinytoy, 24 ans. Bâtard appartenant à Maître Isk et Isklaver, prêté pour 24h.

Voici le rapport du bâtard : "Le bâtard avait été convoqué par Maître Torture pour 19h15 précise devant la porte et avait reçu des instructions en terme de tenue et de préparation qui avait fait suite au petit questionnaire sur ses habitudes. Le déchet était prêté par ses Maîtres à Maître Torture dans le cadre d’une utilisation d’intérim pendant leur pause – Maître Torture avait donc les pleins pouvoirs et la discussion s’était faites entre Maîtres. Le bâtard ne savait rien du plan si ce n’est qu’il comporterait au moins 2 punitions. Le bâtard était donc à 19h15 – un peu stressé mais très excité devant la porte du garage de Maître Torture en attendant qu’elle s’ouvre comme prévu – d’une quarantaine de centimètre afin de faire rentrer le bâtard à quatre pattes pour sa prise en main qui fut immédiate. Maître Torture se trouvait de l’autre coté et place directement le collier autour du cou du bâtard et le verrouilla par cadenas. Le déchet fut super excité d’avoir un collier verrouillé à son cou, il se sentait bien esclave et c’était une bonne sensation retrouvée. Maître Torture mis aussi une cagoule opaque sur la tête du bâtard avec juste un trou pour la bouche, la seule chose d’intérêt chez un bâtard de son espèce. Il lui présenta ensuite sa queue- queue que le déchet allait apprendre à connaître et la fit sucer. La queue du Maître était bien, droite et fine mais longue et le déchet se jeta dessus après tout ce temps d’absence au service d’une vraie queue de mâle. Maître Torture attacha aussi les pouces du bâtard ensemble avec un paire de menottes pour pouces, instrument super efficace pour empêcher les mouvement et le bâtard se retrouva bien vite incapable d’échapper à son sort lorsqu’il fut mis la tête au sol sur un boxer bien odorant à sniffer pour se calmer et s’occuper. Maître Torture lui scotcha la bouche pour être bien sur que le bâtard sniffe profondément la bonne odeur du Maître et s’y habitude. Le bâtard commence alors à sniffer cette bonne odeur et a émettre des petits gémissements de plaisir comme à chaque fois, sa nouille gonflée dans la cage. Maître Torture attendait son assistant qui arrivait en ce moment, il s’agissait d’un assistant en entrainement assez nouveau dans le SM et qui avait été soumis à Maître Torture lorsque le déchet avait du annuler son précédant service – tout à fait symbolique et excitant. Il est arrivé et s’est foutu a poil devant le Maître et il l’a sucé un moment alors que le déchet sniffait toujours le boxer – excité a mort. Ils ont commencé à parler de la marchandise a préparer. Ils avaient tous les deux des voix super sexy et sans voir quoi que ce soit, le déchet ne pouvait que les imaginer et ses fantasmes allaient à fond avec des voix pareilles. L’assistant était connu pour être bien membré et allait être utilisé pour bien ouvrir et baiser le déchet et très vite le bâtard fit la connaissance de l’autre queue qui règnerait sur sa bouche et son cul pendant près de 24h. Le déchet fut ordonné de se déshabiller et de se tenir en position pour l’inspection. Maître Torture veut ses soumis bien imberbe de partout mais se charge de la préparation si besoin. Le déchet avait fait le maximum pour les parties accessibles mais il restait à préparer pour qu’il soit parfait comme le Maître le désirait. L’inspection continua et le déchet fut préparé pour la première punition. On lui passa les menottes aux chevilles et aux poignets et on l’approcha du mur pour l’y attache en croix avec une fixation au collier et une aux noisettes avec une cordes liée autour. Le bâtard ne pouvait absolument pas bouger et la punition commença rapidement : 20 coups pour ne pas avoir rangé sa chambre comme ordonné. Les 5 premiers tombèrent sur ses fesses et la sensation revint dans l’esprit du bâtard, les punitions de ses Maîtres et les sensations. Un mélange de douleur et d’excitation se présentait alors que l’assistant comptait les coups. Les 5 suivants, Maître Torture demanda si ils allaient être donné au même endroit et le déchet répondit que non alors il fouetta le dos et ensuite les cuisses ce qui portait le compta à 15. Les 5 derniers – plus violents furent donnés sur les fesses à nouveau pour bien les rougir et le bâtard fut laissé là un moment pendant que le Maître et son assistant buvait un petit peu. Le bâtard avait fini sa première punition et allait être détaché mais collé contre ce mur, cela promettait une bonne torture si il ne gardait pas l’équilibre car les mains et pieds détaché, il avait tendance à basculer en arrière, retenu par son collier qui une fois détaché ne pourrait plus le retenir – laissant toute cette tâche à ses noisettes qui allaient le sentir passer. Maître Torture annonça au bâtard qu’il avait intérêt à avoir un bon équilibre ou sinon ses noix allaient morfler. Heureusement pour lui, le déchet tint droit. Une fois détaché le bâtard fut mis à genou et on lui plaça deux moufles aux mains qui lui empêchait toute préhension et le rendait vraiment ainsi avec la cagoule en plus, un simple jouet – une bonne machine à servir qui pour remercier son Maître en lui baisant les pieds longuement, la bouche toujours scotchée bien parfois simplement détachée pour y enfoncer une des deux queues en présence. Le bâtard remercia son Maître pour la punition et lui lécha ensuite les pieds, mettant de l’ouvrage à bien tout mettre en bouche et se souvenant aussi des pieds de ses Maîtres qu’il rêvait de servir à nouveau. Après une bonne lèche des deux pieds, l’assistant en profita aussi et en insultant bien la pute, se fit servir la queue et les pieds correctement. Il était temps de préparer le déchet pour son service et Maître Torture arriva avec la tondeuse – il enleva la cagoule ordonnant au bâtard de ne pas les regarder et lui rasa entièrement le crane pour le rendre encore plus objectifié et impersonnel. Le déchet bandait dans sa cage comme un malade et après cette rapide coiffure, la cagoule fut replacée sur sa gueule de pute. Le déchet fut emmené sur la table pour être préparé au reste et notamment raser dans le dos et aux quelques endroits ou il restait des poils. Le bâtard fut attaché aux 4 coins de la table et rendu sans défense face à la torture de ses bourreaux. Le rasage fut rapide et précis et les jeux allait pouvoir commencer pour le Maître et son assistant. Replace sur le dos, le bâtard fut mis à l’air libre de sa cage et évidemment sa nouille se dressa rapidement dans la longueur inutile et grotesque et ses noix se tendirent. Maître Torture, fan de CBT avait là de quoi bien jouer et ayant rapidement jaugé la marchandise. Il s’occupa avant de placer un stretcher sur les couilles de son assistant avant de décider de place sur plus gros stretcher – bien long et pesant sur la chose du bâtard ce qui le fit bien bander évidemment. Maître Torture devait continuer sa préparation qui passait par la mise en chasteté du bâtard dans une des cages du Maître, une particulièrement vicieuse et excitante mais qui imposait d’être au repos et pour se faire, le Maître utilisait la même technique que le Boss – une raquette électrique. Le déchet connaît bien ce petit grésillement et sans même la voir, il savait ce qui s’était et ce qui s’annonçait sur ses noisettes et par la suite sur sa nouille – le faisant trembler comme la première fois chez ses Maîtres. Le sadisme de Maître Torture ne s’arrêtant pas la, il attache plus solidement le bâtard a la table avec des tendeur au niveau des cuisses et du ventre et à chaque fois que le déchet commençait à débander, il lui manipulait la nouille – en manque et sensible à chaque infime stimulation ce qui faisait tout regonfler et nécessitant à nouveau l’usage de la raquette. LE bâtard eut droit également aux baguettes chinoises sur les seins que l’on resserrait fréquemment lorsqu’il semblait s’y être habitué et finalement aux pinces sur la nouille qui après quelques instants produisirent leur travail et firent débander le déchet qui redevint mou après un dernier petit coup de rasoir. La cage allait pouvoir être placée et c’était une merveille de torture. Il s’agissait de cerclage de cuir serré avec au bout un cerclage en métal. Au repos la nouille ne remplit pas tout cela et ce n’est qu’un ornement pervers du membre minable du bâtard mais lorsque celui-ci croit qu’il peut bander sans autorisation et gonfle, le cerclage de cuir contient sa nouille et l’empêche d’atteindre son maximum sans douleur, le cerclage de fer lui enserre alors le gland grossit et tout cela compresse une érection qui est rendue douloureuse mais possible mais empêche même au bâtard rapide d’éjaculer car la douleur ne parvient pas de se finir et la cage empêche de se caresser. En plus de cela elle apprend au bâtard que chacune de ses érections est punitive et doit se faire dans la douleur. La cage mise, le bâtard était prêt pour se faire prendre la cerise et c’est l’assistant qui commença avec un petit doigtage avec un minimum de lubrifiant mais un lubrifiant gel assez intéressant qui était bien plus solide que celui que le bâtard utilise habituellement. Après ce petit doigtage que le bâtard subit toujours un peu, le Maître se présenta à l’entrée avec sa capote et chauffa un peu le bâtard avec son gland avant de lui annoncer que lui il aimait entrer librement d’un coup dans un trou et que donc il allait laisser le travail d’ouverture a son assistant et que le déchet allait sûrement le sentir passer ! L’assistant avait déjà sa capote et il se présenta – excité à l’entrée du trou de la pute et sans prendre la peine de mettre de l’extra lubrifiant, il le força à sec ! Le bâtard gémit à l’entrée de cette queue large et grosse qui lui bourrait l’intérieur mais lui faisait du bien – déclenchant des gémissements de plaisirs entrecoupé de couinement de la douleur, la chanson des bâtards qui se font baiser. L’assistant entra avec force et baisa avec fougue la chatte du bâtard en l’insultant bien et en lui faisant dire à travers son bâillon qu’il voulait de sa bonne queue – sans vraiment prêter attention à la réponse du bâtard finalement. Après de bonnes minutes, il se retira d’un coup sec et annonça au Maître qu’il lui avait ouvert le trou et qu’il pouvait maintenant en prendre possession – ce que le Maître fit dans un bon moment solennel ou se plantant devant l’ouverture du bâtard, il y entra d’un coup et fit couiner la pute en le baisant comme seul un Maître le fait. Pendant de longues minutes, ils prirent leur tour dans le cul du bâtard placé sur le dos avec ses jambes en l’air et ayant enlevé le baillon, il lui étouffait ses couinements en se faisant lécher le cul pendant que l’autre pilonnait les entrailles du jouet. Lorsque le bâtard couinait de trop – une petite claque venait lui rappeler qu’il devait se la fermer et que le lubrifiant était à la discrétion des Maîtres seulement. Sa chatte se faisait envahir et le déchet sentait la pute en elle, il était aux anges de se faire à nouveau bien baisé et bien utilisé et sa nouille faisait l’expérience douloureuse de la cage. Après un moment, le Maître et son assistant, un peu fatigué de supporter les jambes du bâtard décidèrent de les fixer au crochet au plafond et c’est à présent comme un trou de viande que le bâtard fut baisé pendant encore un moment – quasi violé par ces deux engins de percussion dans un concert de gémissement et de couinement, d’insultes et de râles. Après quelques couinements plus poussé, le bâtard fut laissé tranquille un instant mais le Maître avait en tête de ne pas laisser son cul inutilisé et allait prendre plaisir et faire vivre son fantasme au bâtard. Le déchet avait vu sur le blog de Maître Torture mais aussi sur d’autre site, cet énorme plug en forme de grenade dont il a fantasmé pendant un long moment de se le faire forcer dans le cul sans défense tout en étant traité comme un petit objet a qui ont fait subir les choses en lui donnant à téter un doigt. Le bâtard ne savait pas encore ce qui allait se passer mais quand le Maître lubrifiant le trou du bâtard et dit à son assistant que le bâtard en avait rêve, il était plutôt évident que la grenade se trouvait à l’entrée de sa chatte. Il fallut quelques essais et le bâtard couinait pas mal mais Maître Torture est prudent mais aussi très sadique et insensible aux supplications et sachant que le bâtard avait encore des ressources, il poussa encore la grenade qui rentra brutalement dans le cul du bâtard. La douleur de pression important qui faisait gémir le déchet disparu en un instant et laissa place à une vague de plaisir et de sensation mais fut rapidement douloureuse, comme si on brulait ses entrailles et le bâtard supplia l’assistant d’enlever la grenade. Maître Torture le tortura un peu, le laissant attendre un moment et lui annonçant que la sortie serait douloureuse et que la grenade ferait mieux de rester la ou elle était – bien au chaud mais aussi excitant que cela était – le bâtard avait quand même la vraiment mal et le Maître s’occupa de la sortie, faisant déculer cette bombe au bâtard dans un autre gémissement suivi d’un moment béni de plaisir. Le Maître expliqua alors a l’assistant la raison des brulures qui viennent des sillons de la grenade qui pinces les chair à l’intérieur et rendent ce plug diabolique. Le bâtard de son coté et explosé de sensation – fier d’avoir rentré cela dans son cul, ce qu’il ne pensait pas et explosé de la sensation de plaisir que cela avait amené dans la douleur. Après cette session anale poussée, il était temps de manger et le bâtard fut amené en haut et mis a disposition a la vue sur l’estrade du salon qui donnait sur le canapé d’angle. Le Maître, l’assistant et le compagnon du Maître qui se chargeait de la cuisine pouvait donc avoir une bonne vue sur la chatte ouverte du bâtard et ses noix qui étaient étirée bien bas avec le stretcher et évidemment ils ont maté et joué avec tout cela encore un peu. Le bâtard avait ses noix lattée et la bouche remplie de queue fréquement entre deux pause sur smboy ou le Maître et l’assistant regardaient les autres candidats et parlait de l’historique du bâtard avec ses Maîtres. Le déchet était très fier de ses Maîtres et de leur appartenir en entendant tout cela. Maître Torture vint ensuite se faire sucer et se chauffer prêt du bâtard et ayant enfilé une capote il continua a se chauffer avec le bâtard jusqu’à juter – offrant au déchet de nettoyer sa queue et lui permettre de goutter à nouveau du bon sperme frais et de qualité supérieure ! Un rêve dont le bâtard fit un petit festin en nettoyant juste la queue – triste de perdre tous les bon jus de la capote. Il était venu le temps de manger et le bâtard mangea la même chose de ses Maîtres – en bouillie dans une gamelle sous le regard de l’assistant qui avait reçu l’ordre de s’occuper de lui. Il lui donnait a boire et l’aidait à manger et lui donna à la fin son sirop avant de le laisser dans un coin main derrière la tête à attendre la fin du repas des mâles. Il était venu le temps de se relaxer et Maître Torture possède un jacuzzi – dans lequel le bâtard eut le droit d’aller car il avait été bien sage mais pas question d’enlever le collier ni la cagoule et c’est donc dans le noir et sans parler que le bâtard profita de son jacuzzi – toujours excité par Maître Torture et l’assistant comme un bon jouet. Une fois sortit, il était temps d’aller dormir. L’assistant, étant un soumis au Maître devait dormir dans une autre chambre à l’étage alors que le déchet allait dormir dans le garage car comme il avait été sage il allait éviter la trappe à soumis. L’assistant proposa de dormir avec le bâtard pour lui tenir compagnie et le Maître accepta mais prit tout de même quelques dispositions. Il prépara avant le bâtard pour la nuit mais il devait pisser et le Maître comptait bien profiter de son petit urinoir à dispo et il alla chercher le gag urinoir oxball. Ce gag était aussi un fantasme du déchet, il l’avait vu dans des pornos et des blog et il rêvait de ce truc qui fait une avancée de la mâchoire comme un vrai urinoir. Le pied ! Le bâtard eut donc la bonne pisse forte de son Maître à boire et il en perdit un peu car le gag était tout nouveau et pas tout a fait hermétique et le déchet n’est pas encore habitué à cela et a des difficultés a avaler avec la bouche maintenue ouverte, il doit s’entrainer encore. Une fois qu’il avait bu pour la nuit ; le déchet fut mis au lit avec ses moufles, la cage, le stretcher et son collier attaché par une chaine au mur pour l’empêcher de bouger. Il y avait au sol quelques couvertures et le bâtard s’y installa blotti et Maître Torture compléta sa préparation avec LA chose de rêve, LE meilleur gag du monde que Maître Torture avait spécialement acheté à Berlin pour le déchet suite à leur discussion. Ce gag est une merveille que le bâtard ne se lassera jamais d’avoir en bouche et est son idée de gag faite réalité. C’est simplement un gag pénis de bonne taille en matière semi-molle et avec juste une fine plaque au bout et une lanière pour attacher, rien de gros en dehors de la bouche, tout se passe dedans et ce gland synthétique est doux, sans gout et parfait pour un petit garçonnet comme le bâtard pour téter sans relâche car le Maître avait déjà compris que le bâtard était un téteur. Il fixa le tout – rendant ainsi le bâtard bien hermétique et incapable de bouger. Il prépara aussi l’assistant pour lui éviter de trop jouer avec le déchet, il se retrouva aussi avec une cage de chasteté mais pas de gag bien que Maître Torture lui annonça que sil il entendait 1 seul mot, il descendrait lui en mettre un en bouche aussi. L’assistant lui était libre de ses mouvements et il fut mit à l’écart un moment pendant que Maître Torture avait son moment avec le bâtard. Maître Torture se couche prs du bâtard et le caressa, le frotta, lui titilla les seins et lui donna un doudou de chaussettes à lui pour la nuit afin que le déchet passe une nuit reposante à téter avec son doudou comme cela devrait toujours être. L’assistant vint se mettre ensuite auprès du bâtard et ils furent tous les deux couvert par le Maître pour la nuit d’une petite couverture. La nuit ne fut pas de tout repos car le stretcher était parfois douloureux et avec ses moufles le déchet n’arrivait pas a le bouger pour supprimer la douleur et il se voyait passer une nuit de souffrance. L’assistant l’entendit remue et se proposa un eu sadiquement de l’aider et il joua un peu avec sa nouille avant d’écouter la demande muselée du bâtard et de la réaliser pour le plus grand soulagement du déchet. Mais tout vient avec un prix et l’assistant avait bien envie de se chauffer un peu et il se colla contre le bâtard avec sa queue gonflée dans la cage de chasteté et se donna du plaisir sur la raie du cul du bâtard – empêché de réaliser son projet de le baiser encore et encore - Maître Torture avait vu juste. Le bâtard mit du temps à trouver le sommeil et finalement s’endormi au petit matin pour se retrouver réveiller par le Maître. Très vite a genou, le bâtard eut son gag enlevé pour être remplacé par la queue de Maître Torture qui lui annonça que ce travail d’écartement pendant la nuit avait fait des merveilles sur ses talents de suceur de queue. L’assistant s’est levé et le bâtard a été détaché et amené à la toilette pour faire ses besoins du matin. Maître Torture le fit installer comme ses Maîtres le stipulent – sur la cuvette et tourné vers le centre et il resta a coté du bâtard, répondant lorsque le bâtard avait du mal que chez lui c’était ainsi ou pas. Après un petit moment de cette humiliante scène, le bâtard se lâcha dans les toilettes. Maître Torture amena ensuite le bâtard à l’étage dans la salon et il l’installa sur le bout du canapé un moment et mit la boule de chaussette dans sa bouche avec de jouer avec le petit Tinydog un moment, lui faisant tirer sur son doudou avant de lentement l’amener à la lâcher pour se concentrer sur autre chose – le bon os du Maître qui avait grandit sous son nez. Le bâtard fut lentement poussé sur le membre et commença à sucer pendant que Maître Torture regardait le journal sur son ordinateur posé sur le dos du bâtard. Après un moment, Maître Torture amena le bâtard contre lui et lui fit téter un peu son sein droit et le bâtard retomba dans son clame de téteur pendant que l’assistant obéissait à l’ordre du Maître d’aller chercher un essuie, du lubrifiant et une capote pour le Maître – car il était temps qu’il ait sa vidange de couille du matin. Rapidement après, le bâtard se retrouva cambré sur le bout de canapé, trou offert avec une légère lubrication et doigtage de l’assistant en attendant que son Maître vienne s’y introduire d’un coup. Cette baise était bien chaude et différente de celle de hier, ce n’était plus tant un jeu mais une baise d’un Maître qui a besoin de se vider les couilles le matin. Maître Torture pilonna bien le déchet pendant un moment pour se donner son plaisir et après quelques minutes le bâtard sentit son phallus gonfler et ensuite le râle du Maître qui répand sa semence dans un bon petit cul. Il y resta un moment avant de sortir, d’enlever la capote et de se faire nettoyer la queue par le déchet qui se rua encore une fois sur le sperme restant. Peu après il fut emmené, toujours cagoulé, en haut pour subir son lavement que Maître Torture avait à nouveau prévu d’être humiliant. Enlevé de toutes ses entraves sauf la cage et le stretcher ainsi que le collier, l’assistant lava le bâtard et commença ensuite son lavement au jet, c’était super humiliant et après quelques instants le bâtard demanda de le faire lui-même ce que l’assistant accepta. Une fois l’eau sortie claire, il fut redescendu en pas et mis en position d’attente pendant que le Maître et son assistant sortaient faire des courses. Le déchet fut entravé aux mains par de très grosses menottes et ensuite amené au centre de la pièce et attaché au crochet pendu au plafond. Maître Torture s’approcha avec un autre gag bien excitant qu’il place dans la bouche du bâtard. Il était plus rigide et avait une membrane souple autour dont le bâtard compris rapidement la raison lorsque le Maître gonfla le gag pour qu’il remplisse bien la gueule du déchet. Maître Torture chercha un dernier ustensile et l’assistant proposa une autre idée qui plus directement à Maître Torture et c’est ainsi que le déchet senti un crochet anal être inséré dans son petit trou et attaché à la chaine avant d’être relevé bien haut pour le faire rentrer et forcer le déchet a tenir sur sa pointe de pied pour ne pas subir la pression du crochet dans son cul. Maître Torture gonfla encore un peu le gag pour éviter tout cris de rébellion et – sûr que leur bâtard serait la au retour – ils partirent. Le bâtard resta là un moment – alternant pointe des pieds et pression dans son fondement car rester sur la pointe des pieds lui faisait perdre l’équilibre sans repère visuel et il risquait de s’enfoncer le crochet encore plus si il venait à tomber. Il resta un moment dans cette position inconfortable – la bouche toujours remplie a fond de ce gag aérien qui l’excitait beaucoup. Il entendit ensuite le Maître et son assistant rentrer et venir un peu le torturer, le caresser et remonter un petit peu le crochet quelques instant avant de le libérer et de l’amener en haut pour son second lavement avant la baise. Même projet, un lavement public donné par l’assistant qui abusait du petit trou endoloris du bâtard et lui déclencha une de ses réactions de colère – attendue par Maître Torture. Le lavement continua fait par le déchet pour qu’il se calme et ils redescendirent pour le massage du Maître. Maître Torture se fit masser un moment sur le dos et ensuite sur le ventre et le bâtard termina son massage par lui lécher et sucer la queue et lui lécher le trou avant de passer à ses pieds. La cage et le stretcher pinçaient et le bâtard sentait une douleur brulante qui lui faisait mal mais empêché de touché par Maître Torture, il resta là à devoir se concentrer sur son service d’un Maître sans pitié ! Le bâtard sentit les larmes monter et Maître Torture le fit taire, il était prêt pour la baise ou même le petit viol. Il se retrouva penché sur la table et Maître Torture mis sa capote et rentra lubrifié dans la chatte abusée du déchet, l’insertion lui faisait mal et le mouvement apaisait ensuite cette douleur mais à présent il n’était plus question de savoir ce que le déchet voulait – il n’avait jamais été question de cela et Maître Torture se faisait plaisir dans la chatte du bâtard qu’il utilisa pendant un bon moment avant de se vider dans la capote avec le cul de la pute ! Le bâtard adore cela et à surtout aimé cela avec Maître Torture car il se vide réellement bien en baisant le bâtard comme si ce n’était qu’un masturbateur. Excité, l’assistant une fois le Maître vidé, eut carte blanche pour utiliser le bâtard et il en avait envie. A grand renfort de bonne insultes pour sa pute, il le pénétra bien a fond, écartant encore plus son petit trou a chaque insertion et sortie – seulement apaisée par les moments à l’intérieur ou sa queue faisait du bien, semblait lui frotter l’intérieur. Sadique, il avait bien envie de faire couiner la pute et continuait de sortir et entrer. Il retourna le bâtard sur le dos et lui pris les jambes avant de reprendre le petit jeux qui amenait des gémissements et des larmes aux bâtard que Maître Torture régla rapidement en amenant 1 doigt dans le bouche du bâtard qui immédiatement tourna sa tête et téta, sa calmant par moment malgré les assaults répétés. La baise dura un bon long moment ou le bâtard oscilla entre gémissement de plaisir et de douleur, l’assistant le bourinait et lui plaqua à un moment les mains sur la table au dessus de lui en disant « voilà comment on baise les putes » et le déchet était super excité. Après un moment la douleur devint plus forte et l’assistant pouvant encore continuer des heures, Maître Torture décida de ralentir et stopper la bonne utilisation du trou de la pute qui durait depuis un moment. L’assistant, bien chaud demanda à la pute si il allait être sage, être une bonne suceuse pour lui vider les couilles car sinon il l’enculerait à sec a nouveau car il finirait par se vider avec le pute ! Ces mots excitèrent le déchet qui sentait toujours la bonne bite au fond de lui qui lui faisait du bien et alors que l’assistant allait se retirer, le bâtard le retint avec ses jambes pour lui dire de continuer. C’était un signal pour l’assistant évidemment qui repris son pilonnage en règle faisant monter dans le bâtard une étrange sensation que l’assistant compris rapidement en disant au Maître que la pute était lubrifiée là, qu’il jouissait du cul ! Le bâtard sentait cela monter en lui et avait envie de créer à l’assistant de le baiser encore plus vite, plus fort, il savait qu’il allait venir rapidement et d’un coup c’est arrivé – il a commencer à être remplis de tensions qui se libéra dans tous son corps et sa petit nouille droite dans la cage douloureuse expulsa des jets de pus partout sur le bâtard qui venait d’avoir son premier orgasme anal et éjaculation sans les mains ! Il était épuisé et à bout. Il suça ensuite l’assistant en le doigtait un peu pour le finir et ils s’essuyèrent car ce n’était pas fini. Le bâtard fut couché sur la table et Maître Torture commença à travailler avec les sondes dans l’urètre ce que le bâtard kiffa, il se sentait bizarre mais c’était une super sensation et pendant ce long moment, le bâtard put se relaxer sur la table, sa queue torturée par le Maître mais d’un plaisir maximal. Il avait évidemment enlevé la cage vu que le risque était terminé et le déchet sentit cette branlette interne qu’il aurait aimé sentir pendant des heures. Après cela le déchet remonta avec l’assistant pour prendre une douche et ils redescendirent ou le Maître avait préparé la seconde punition du bâtard – une torture de posture apparemment mais il n’était pas encore temps, Maître Torture était introuvable d’ailleurs. Le bâtard massa alors l’assistant et ils discutèrent ensemble dans un moment de pause qui dura 1 heure avant ensuite d’être rejoint par Maître Torture qui était resté la tout le temps, derrière la porte à écouter ses deux soumis pour en apprendre plus sur eux. Il annonça que toutes les punitions étaient levées pour cette fois mais reportée à la prochaine venue du bâtard. Il enleva les strechers et les colliers de ses soumis tout le monde parti se relaxer dans le jacuzzi"

Maintenant voici les liens de la vidéo :

Partie 1 : Lien

 Partie 2 : Lien

Partie 3 : Lien

Et les photos : 


Souper du bâtard, aidé par le second soumis, Adri, 24 ans également.




uuummmmmm la bonne bouffe pour bâtard préparée par l'ami de Maître Torture
Le soumis assistant ADRI aime se faire lécher le trou par le bâtard et ne s'en est pas privé !
Voilà deux bâtards heureux !